Nouvel échantillon "M3T" goûté ce soir : un sheng cha d'automne 2008, de la région de Mengku semble-t-il.
Très bonne odeur des feuilles sèches, dégustation très plaisante et détendue.
J'utilise de plus en plus souvent ma tetsubin, voire même systématiquement alors que ce n'était pas le cas auparavant. Ce que j'apprécie le plus : sa verse ultra-précise et vraiment très agréable, le fait de manipuler un bel objet, et évidemment sa participation à l'obtention d'une bonne eau.
Finalement, je m'aperçois que je n'ai pas grand chose à dire de ce pu erh ; rien d'exceptionnel à signaler : un comportement tout à fait "normal" pour ce type de thé, une gamme d'arômes et de saveurs qui me sont familiers et que j'apprécie beaucoup, des sensations connues quoi.
Premières liqueurs très claires, puis qui virent à l'orangé.
Juste un petit point particulier : une légère acidité sur les toutes premières infusions. Cela n'a pas duré et je n'ai vraiment rien à reprocher à ce thé, un jeune sheng cha tout ce qu'il y a de meilleur. Il a aussi cette particularité que j'adore, et qui n'est pas systématique chez les jeunes pu erh : offrir des parfums splendides dans la tasse vide.
Je me pose quand même une question : quelle est la différence (si tant est qu'il y en ait une) entre ce type de vrac et du maocha ?
2 commentaires:
Mme Tseng m'avait offert une tasse de ce thé avant de le mettre en vente et m'avait dit qu'il s'agissait du maocha ayant servi à confectionner la galette (64 ?). Donc il s'agit bien de maocha
ok merci pour la précision.
Les feuilles me semblaient un peu plus petites et travaillées que pour les autres maocha que j'ai eu l'occasion d'avoir entre les mains...
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